Modérateurs: jerome, Dorfmeister, kyah117, Terroir
citizensareatransit Wrote:Pour les Agora L euro3 (et je pourrais te confirmer en septembre) normalement on pourra les voir sur les lignes 40,50,53,59, Kerlann Express
Curiosité : savez-vous où circule l'unique GX127 n°2060 depuis que KARM a perdu la ligne 35 ?
Rennes. Un nouveau dépôt de bus en 2026 à Baud-Chardonnet
Le conseil de Rennes Métropole a voté, jeudi 23 septembre 2021, la construction d’un nouveau dépôt de bus dans le quartier de Baud-Chardonnet. Il sera proche de l’actuel, entièrement équipé pour accueillir les nouveaux bus électriques.
L’actuel dépôt de bus de Baud-Chardonnet va être déplacé et agrandi, pour un coût total de 27 millions d’euros. « Ce nouveau dépôt intervient dans le cadre de la rénovation énergétique du réseau Star, avec le passage progressif de tous les bus à l’électrique d’ici 2030 », explique Matthieu Theurier, le vice-président en charge de la mobilité et des transports.
Le nouveau dépôt va s’agrandir sur des terrains appartenant à la ville de Rennes et à la Sernam, l’ex-filiale de la SNCF chargée du fret. Le tout sera livré à l’horizon 2026, entouré d’une haie végétale.
« Le futur dépôt sera dimensionné pour accueillir 300 bus », poursuit Matthieu Theurier, avec des bornes de recharge électrique et une station-service diesel, le temps de remplacer le parc de bus. En revanche, il n’y aura pas de station de recharge en gaz (GNV) à Baud-Chardonnet, pour des raisons de sécurité, « car le dépôt sera situé en zone résidentielle ».
citizensareatransit Wrote:Selon l'open data 3 Citaro NGT 12 mètres circulent sur les lignes Linevia (1000,1001 et 1002)
Quelqu'un peut confirmer ?
TÉMOIGNAGE. La création de la 1re ligne du métro de Rennes, « une longue traversée d’épreuves »
« Des études menées, d’abord sur le tramway »
« Le métro, c’est une contribution importante de mes mandats. Mais il n’a aucune raison d’être si on ne voit pas les différentes politiques dans lesquelles il s’installe. Il fait partie d’un ensemble.
Début des années 80, du fait de la localisation des services, des activités, des emplois, il y a une extrême concentration des déplacements sur 0,3 % du territoire rennais. Dans notre programme pour les élections municipales de 1989, on annonce qu’on créera un transport en commun en site propre (TCP). Des études sont menées, d’abord sur le tramway.
Je voulais que ce TCP desserve le centre-ville, mais il n’était pas question qu’il passe en surface alors que nous avions eu tellement de peine à réaliser le plateau piétonnier. Il y avait aussi la question de la gare, où les aménagements étaient difficiles car il fallait compter avec les bus, les piétons, les taxis… »
« Évidemment, ça remue beaucoup dans la ville »
« Je visite alors le métro de Lille et sa conduite automatique me convainc. On calcule aussi que la différence de prix entre le tramway et le métro n’est pas si importante. Je rencontre alors Jean-Luc Lagardère, PDG de Matra transports, constructeur du VAL, que j’avais fréquenté lorsque j’étais au gouvernement (Edmond Hervé a été notamment ministre de la santé, puis de l’industrie au début des années 80, N.D.L.R.). L’exemple type d’un grand patron patriote et novateur.
On choisit le métro VAL avec un vote à une très large majorité. Le PCF s’abstient, quelques personnes de l’opposition votent pour, d’autres contre. Évidemment, ça remue beaucoup dans la ville. Des comités de défense se créent, à Villejean, Coëtlogon, Le Blosne ou rue Jean-Augée.
Une pétition réunit 60 000 signatures pour un référendum. Les opposants font jouer la peur en disant que cet investissement pharaonique va mettre la ville en faillite, que la tranquillité des quartiers va être perturbée… Je serai frappé de la folie des grandeurs, des rumeurs d’expropriations courent tout comme celle de l’afflux d’ouvriers turcs pour faire construire le métro ! Pierre Méhaignerie, président du conseil général d’Ille-et-Vilaine, qui, depuis 1977, n’a cessé d’agir contre la ville de Rennes, alimente, à sa manière, l’opposition au VAL. »
La livraison de la ligne B du métro espérée pour fin avril 2022
Ce mercredi, l’estimation a été affinée. D’après la maire Nathalie Appéré et Laurent Bouyer, président de Siemens Mobility France, la deuxième ligne de métro rennaise devrait être livrée en « au plus tôt fin avril, au plus tard fin mai 2022 ».
Le responsable de Siemens a notamment pu s’expliquer sur les délais des essais réalisés par ses services sur les toutes nouvelles rames. Le constructeur allemand avait admis au printemps avoir « sous-estimé les délais face à la complexité du système » expliquant que les nouvelles rames de CityVal retenues par la métropole sont « une première mondiale ». Des retards qui devraient donner lieu à des pénalités financières pour Siemens. D’après la maire Nathalie Appéré, les plannings avaient été allongés en raison de l’indisponibilité de certains experts, privés de déplacements par les mesures sanitaires.
Arsik Wrote:Salut,
Ce sont bien 2 MAN NL284 CNG qui sont prévus chez TIV
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