phantom Wrote:Bonjour !
Petite info du jour, les distributeurs de titres sont en cours d’installation ! Plus que 8 jours avant l’inauguration
Bordeaux : la ligne D du tramway enfin sur les rails
Six stations ouvrent samedi depuis Le Bouscat vers le terminus de Carle-Vernet via Fondaudège et Quinconces
SÉRIE. J-5 avant la mise en service de la ligne D du tramway, la 4e de la métropole. Toute la semaine, « Sud Ouest » explique les enjeux de ce nouvel axe de transport
A partir de samedi prochain, les habitants du Bouscat comme les Bordelais du quartier Fondaudège pourront prendre le tramway près de chez eux pour se rendre à la gare Saint-Jean. En effet, la ligne D du tramway est mise en service entre Mairie du Bouscat (avenue de la Libération) et les Quinconces, à Bordeaux.
De là, sans que les voyageurs ne descendent du tram, les rames emprunteront un tronçon commun aux lignes C et D jusqu’au terminus de Carle-Vernet, situé après la gare Saint-Jean, dans le périmètre d’Euratlantique.
En attendant de desservir, à l’ouest, le quartier de Cantinolle à Eysines, sans doute au début de l’année 2020, cette nouvelle ligne ouvre samedi ces six premières stations sur environ quatre kilomètres.
Comme une ville nouvelle
Les riverains de l’avenue de la Libération pourront embarquer à l’arrêt Mairie du Bouscat dans un quartier en pleine mutation. De nombreux logements sont sortis de terre ces derniers mois sur ce qu’il est convenu d’appeler l’îlot Renaut, à l’emplacement de l’ancienne concession. Les bâtiments blancs qui ont poussé de chaque côté de l’avenue forment comme une une ville nouvelle dans la ville.
En remontant vers Bordeaux, la station Calypso alimente le quartier du même nom et ses commerces de proximité. Le prochain arrêt, Courbet, en référence à la rue de l’Amiral-Courbet, trône devant l’ancien garage Peugeot. Lequel a déménagé à côté de Citroën. Depuis, la parcelle attise la convoitise des promoteurs. Nous en reparlerons.
Barrière du Médoc
La barrière du Médoc n’est pas loin. Ce sera la prochaine étape, près des boulevards. Le tram D dessert ici un quartier très animé, abritant de nombreux commerces. Chacun vous le dira, à la barrière du Médoc et un peu plus loin, rue Fondaudège : les trois années de travaux ont été longues et pénibles et la mise en service de la ligne est vécue comme un soulagement.
Prochaine halte : la station Croix-de-Séguey est aménagée place Marie-Briard. Comme c’est souvent le cas, en bordure de cette nouvelle ligne, les chantiers de restauration ont été nombreux dans les logements anciens.
Autre station inaugurée samedi : Fondaudège Muséum est installée sous les magnifiques frondaisons de la place Charles-Gruet, non loin du Muséum d’histoire naturelle de Bordeaux. Il s’agit du dernier arrêt avant les Quinconces.
Objectif quadrant nord-ouest
Dans une agglomération en forte croissance, le quadrant nord-ouest occupe une position paradoxale. C’est l’un des secteurs les plus dynamiques concernant l’accroissement de la population, mais il ne bénéficie pas des transports en commun adaptés à son nombre de résidents. Ce qui s’explique : l’habitat y est majoritairement pavillonnaire et les distances longues.
Exactement ce que les transports en commun n’aiment pas. Arrivant après la mise en service de l’extension de la ligne C vers Blanquefort, la D confirme la fin de l’enclavement de ce quadrant. Pas pour tout de suite, puisque la ligne D s’arrête pour l’instant à mi-parcours (station Mairie du Bouscat). Mais courant 2020, elle sera ouverte jusqu’à son terminus d’Eysines-Cantinolle, au cœur du quadrant nord-ouest. « C’est l’un des territoires de la métropole qui ont connu le plus fort développement de la population et des emplois, il y a un vrai besoin », indique Christine Bost, maire d’Eysines, ville qui dépasse les 23 000 habitants. Les cités voisines de Saint-Médard (31 000 habitants) ou du Haillan (11 000) sont bâties sur le même modèle, avec une population plutôt jeune et qui augmente.
Outre le tramway entre 2019 et 2020, le désenclavement de ce secteur de l’agglomération passe aussi par l’ouverture, sans doute en 2023, d’une ligne de bus à haut niveau de service entre la gare Saint-Jean et Saint-Aubin-de-Médoc. Toujours plus loin, toujours plus à l’ouest, dans le sens de la poussée de l’agglo.
Le tram à Saint-Médard-en-Jalles en 2024
Jacques Mangon, le maire de Saint-Médard-en-Jalles, l’affirme haut et fort : l’extension de la ligne D du tram sera dans sa ville en 2024. Certes, les études préalables ont été faites. Certes, la concertation (de février 2017 à janvier 2018) a déjà permis de choisir un trajet. Certes, Bordeaux Métropole se dit prête à ouvrir sa bourse… Mais nombre d’opposants à ce projet n’y croient toujours pas.
D’abord, il y a ceux qui estiment que le « tout tramway » a vécu et qu’il est temps de passer à autre chose. Ensuite, il y a ceux, comme le collectif Tram en Jalles, qui militent désormais pour un autre tracé, qui n’irait pas jusqu’au centre-bourg de Saint-Médard. Ils entendent bien faire valoir leurs arguments en haut lieu avant le prochain débat sur le sujet, qui doit se tenir en conseil de Métropole le 24 janvier prochain.
À n’en pas douter, dans tous les camps, l’extension du tramway jusqu’à Saint-Médard-en-Jalles sera un sujet sensible en cette période préélectorale. Quant à l’enquête publique, préalable à une Déclaration d’utilité publique, elle devrait se dérouler au cours du deuxième trimestre 2020.
Jean-Michel Le Blanc
Bersol Wrote:Un petit article de Sud Ouest pour les impatients :
https://www.sudouest.fr/2019/12/08/la-ligne-d-du-tramway-enfin-sur-les-rails-6930227-10414.php
Petit détail, l’infographie indique toujours 2022 pour l’extension à St Medard en Jalles... mais l’article évoque plutôt 2024, ce qui me semble plus réaliste. En effet, les travaux de l’extension de la A vers l’aéroport viennent eux de commencer avec une mise en service cible pour début 2022.
Je reste personnellement persuadé qu’une extension au C. Cial de Bouliac (P+R), via le pont Simone Veil et l’Arena, devrait être plutôt prioritaire.
Bordeaux : pourquoi la ligne D du tramway coûte si cher
La construction aura coûté 250 millions d’euros. On peut faire moins cher, mais la Métropole ne le veut pas vraiment
Avec l’ouverture de la ligne de tramway D, samedi 14 décembre, le constructeur Alstom se frotte les mains. Depuis le lancement de la construction du réseau de tramway en 2000, le spécialiste du matériel roulant ferroviaire aura vendu près de 130 rames à Bordeaux.
C’est l’une des plus grosses flottes de tramway en France. Elle est équipée du modèle phare d’Alstom, le Citadis, un bijou à plus de 2,8 millions d’euros pièce. Mais outre le matériel roulant qu’il faut acquérir et entretenir, le coût du tramway se mesure aussi à travers celui de l’infrastructure. Et là, les sommes sont astronomiques.
Impossibles économies
En 2015, devant l’envolée de la facture réglée au fil des ans par la Métropole, Alain Juppé avait tenté de mettre le hola. S’inspirant du modèle de Besançon, qui a sorti un tramway à 17 millions d’euros par kilomètre, il avait fixé un objectif ambitieux à la Métropole pour la ligne D : descendre le coût à 20 millions d’euros par kilomètre.
Un objectif inatteignable. La ligne D reviendra à 250 millions d’euros (M€), soit environ 25 M€/km. Contrairement à Besançon, Bordeaux n’arrive pas réduire drastiquement le coût de son réseau.
« On veut un réseau “chic”.À Dijon ou Besançon c’est moins chic, mais cela marche tout aussi bien »
La Communauté urbaine (CUB) avait certes franchi un premier cap, en réduisant le coût de façon importante entre la première phase de construction du réseau (2000–2004) et la troisième phase (2008–2020). En choisissant des aménagements moins soignés, en passant certains secteurs en voie unique, la CUB avait sensiblement contracté la facture, passant de 30 à 22 M€/km.
Un tram de luxe ?
Elle ne fera pas mieux par la suite. La ligne D se révèle même un peu plus chère que les extensions du réseau livrées ces dernières années. Ce qui se comprend facilement : tracée en pleine ville dense, elle a imposé des travaux plus compliqués. Mais ce n’est pas la seule raison.
Pour l’élu écologiste mérignacais Gérard Chausset, président de la commission transports à la Métropole, Bordeaux a la manie des « standards d’aménagement trop élevés ». En clair selon lui, on pourrait faire moins cher mais on ne le veut pas vraiment. « On a par exemple le culte de la déviation des réseaux situés sous la plateforme de tramway, ce qui entraîne des travaux très coûteux. On pourrait se contenter de les dévier seulement sous les stations de tram. On veut aussi un réseau “chic”. À Dijon ou Besançon, c’est moins chic mais ça marche tout aussi bien », explique-t-il.
Ce coût, le vice-président chargé du réseau TBM, Christophe Duprat, le justifie : « On a mis de l’alimentation électrique par le sol des Quinconces jusqu’à la station Courbet, au Bouscat. On a aussi refait les aménagements des rues de façade à façade presque partout, parce que c’était plus pratique ou mieux pour le coup d’œil. On a réaménagé des places. On a également doublé la taille du parking relais de Cantinolle. Tout cela a un coût. »
L’alimentation électrique par le sol, par exemple, est 40 fois plus onéreuse à l’exploitation qu’une ligne aérienne. Mais ce sont les élus eux-mêmes qui la réclament, pour des raisons esthétiques. Ce qui semble donner raison à Gérard Chausset.
Le président de la Métropole, Patrick Bobet, affirme ne rien regretter, mais admet une limite : « On a eu raison de faire autant de tramways, mais on ne peut pas continuer comme cela. C’est très bien mais trop cher. » D’autant qu’à la construction, il faut ajouter le coût de l’exploitation : chaque année, la Métropole fait un chèque de 230 millions d’euros à Kéolis pour faire tourner le réseau.
« C’est l’équivalent d’un pont tous les ans », note Patrick Bobet. Enfin, ajoutons le coût de l’entretien du réseau, environ 40 M€ par an. Surfréquenté par rapport aux prévisions, le tramway s’use deux fois plus vite que prévu.
Bordeaux : vers la fin de l’âge d’or du tramway
La quatrième ligne du réseau est inaugurée samedi. Mais trop cher, trop lent, le tram est contesté.
Neuf mois après avoir tourné la page Juppé, Bordeaux se prépare maintenant à la fin du tout tramway. Utilisé par l’ex-maire comme instrument d’une spectaculaire révolution urbaine, le tram marque de plus en plus le pas parmi les élus. Trop cher, trop lent, incapable de répondre aux besoins de transports d’une agglomération dont la démographie explose, régulièrement classée comme l’une des plus embouteillée malgré des investissements massifs (plus de 2 milliards d’euros en vingt ans) dans les transports en commun.
On inaugure, ce week-end, la quatrième ligne du réseau, la D, entre les Quinconces (dans l’hyper-centre) et Eysines, dans la banlieue ouest. Ce sera sans doute la dernière mise en service. L’âge d’or du tram est passé. Il avait fallu moins de sept ans à Alain Juppé pour sortir les trois premières lignes du réseau, en 2003. Cette dernière qui entre en service samedi, aura mis plus de treize ans à voir le jour.
« On en a trop fait »
Le tramway est de plus en plus souvent remis en cause au sein même de la Métropole. « On en a trop fait », expliquent certains élus. Consensuel pendant deux décennies, il divise aujourd’hui les décideurs. Au point que certains maires conseillent de faire attention à « ne pas aller trop loin dans le tram bashing ». En général, ce sont ceux qui ont déjà le tram ou espèrent encore l’avoir. Ils mettent en avant les formidables résultats du réseau TBM (trams et bus de la Métropole), exploité par Keolis : 170 millions de voyageurs cette année, dont 105 millions pour les seuls tramways, et une croissance de 35 % depuis 2014, la plus forte de tous les réseaux français.
Conscients qu’il sera de plus en plus difficile d’étendre le réseau, plusieurs maires ont fait le forcing pour arracher les derniers kilomètres de voies. Le maire PS de Mérignac, Alain Anziani, premier vice-président, a obtenu la construction d’une branche sur la ligne A pour desservir l’aéroport en 2022. Coût : 90 millions d’euros, pour moins de 5 kilomètres de ligne. À Saint-Médard-en-Jalles, dans la lointaine banlieue ouest, le maire centriste Jacques Mangon aura aussi son tram en 2023, par prolongement de la ligne pour un coût de 75 millions d’euros. Saint-Médard ne pouvait pas rester la seule commune de plus de 30 000 habitants privée du tramway. »
Dans le sud de l’agglomération, Gradignan réclame aussi son tram, via une branche sur la ligne B. Soit 6 kilomètres pour 100 millions d’euros.
À Bordeaux, le système politique de cogestion droite-gauche à la Métropole fait que l’on dit rarement non à un maire. Même Juppé, volontiers alarmiste concernant la multiplication des projets (« attention, on ne pourra pas tout faire »), avait dit amen à ces demandes avant de quitter la scène politique locale en mars dernier.
Aujourd’hui, des élus dénoncent une fuite en avant. « Il faut sortir du tout tramway », clame l’ex-président de la Communauté urbaine, Vincent Feltesse. L’association citoyenne Trans’Cub, qui a tenté en vain de bloquer le projet de tram vers l’aéroport, le compare au TGV : « un modèle poussé au-delà de sa pertinence initiale. »
« Pas à la hauteur »
Les lignes coûtent cher à construire (25 M €/km) et aussitôt ouvertes elles sont saturées. Utilisé à plein régime, le tram s’use deux fois plus vite que prévu. Chaque année, le réseau engloutit 40 millions d’euros en frais d’entretien. Actuel président de la Métropole, le maire LR du Bouscat, Patrick Bobet, pense que « le tram est un mode de transport fabuleux, efficace, propre, mais très cher.
On donne 230 millions d’euros chaque année à Kéolis pour faire tourner le réseau, tout cela pour un résultat qui n’est pas à la hauteur."
De 2009 à 2017, la part modale des transports en commun est passée de 10 % à 12 %. On est loin de notre objectif de 15 % en 2020. »
Le président de la Métropole souligne qu’un bus à haut niveau de service (BHNS), offre un résultat quasiment équivalent « pour trois fois moins cher ». Mais surtout, l’agglomération mise désormais sur un autre mode de transport, le « RER métropolitain », avec la Région et la SNCF.
Avec 1,23 million d’habitants, l’aire urbaine de Bordeaux était, en 2016, la quatrième la plus dynamique de France pour la croissance démographique. La question des déplacements s’étend, déborde le cadre politique de la Métropole et les capacités de son réseau de tram. Les enjeux se situent dans la deuxième couronne, qui se développe à grande vitesse. C’est la nouvelle frontière des transports en commun.
« Il faut sortir du tout tramway », clame l’ex-président de la Communauté urbaine, Vincent Feltesse. L’association citoyenne Trans’Cub, qui a tenté en vain de bloquer le projet de tram vers l’aéroport, le compare au TGV : « un modèle poussé au-delà de sa pertinence initiale. »
Bordeaux : le pont de pierre fermé deux ans dès 2023 ?
Un premier scénario prévoit de couper la circulation sur le pont mais de maintenir le passage des tramways. Son coût serait de 24 millions d’euros. « Dans ce cas, une solution sera recherchée par le maître d’œuvre pour le traitement de l’étanchéité sous la plateforme tramway », précise le cahier des charges.
Le deuxième scénario est autrement compliqué. Il prévoit de fermer totalement le pont et de déposer les voies du tram pour refaire l’étanchéité du tablier. Ce qui suppose de reconstruire entièrement la plateforme tram à l’issue du chantier. Le cahier des charges impose en effet « une nouvelle plateforme tramway adaptée à la structure de l’ouvrage ». Cette hypothèse reviendrait à plus de 33 millions d’euros. Ces travaux lourds devaient initialement être réalisés entre 2020 et 2023. Le retard pris par la construction du pont Simone-Veil ont poussé la Métropole à le décaler.
La question reste entière : Bordeaux va-t-elle devoir se passer du pont de pierre totalement ou partiellement entre 2023 et 2025 ? Tout dépendra de l’option préconisée par le cabinet spécialisé dont la collectivité veut s’attacher les services.
Bersol Wrote:Vous avez aimé la première saison de "Galère sur le Tram bordelais" avec la coupure de la ligne C entre Quinconces et Gare St Jean pendant quelques semaines, vous allez être ravi de découvrir la prochaine saison avec une coupure de la ligne A entre les deux rives pendant plusieurs mois... et sans service de substitution possible en plus ! (sauf à passer par le Pont St Jean mais cela rallonge un peu)Bordeaux : le pont de pierre fermé deux ans dès 2023 ?
Un premier scénario prévoit de couper la circulation sur le pont mais de maintenir le passage des tramways. Son coût serait de 24 millions d’euros. « Dans ce cas, une solution sera recherchée par le maître d’œuvre pour le traitement de l’étanchéité sous la plateforme tramway », précise le cahier des charges.
Le deuxième scénario est autrement compliqué. Il prévoit de fermer totalement le pont et de déposer les voies du tram pour refaire l’étanchéité du tablier. Ce qui suppose de reconstruire entièrement la plateforme tram à l’issue du chantier. Le cahier des charges impose en effet « une nouvelle plateforme tramway adaptée à la structure de l’ouvrage ». Cette hypothèse reviendrait à plus de 33 millions d’euros. Ces travaux lourds devaient initialement être réalisés entre 2020 et 2023. Le retard pris par la construction du pont Simone-Veil ont poussé la Métropole à le décaler.
La question reste entière : Bordeaux va-t-elle devoir se passer du pont de pierre totalement ou partiellement entre 2023 et 2025 ? Tout dépendra de l’option préconisée par le cabinet spécialisé dont la collectivité veut s’attacher les services.
De toute manière, on le savait, ça devait arriver, on ne fait que décaler l'échéance, mais à un moment ou a un autre, ça va forcément être très embêtant.
https://www.sudouest.fr/2020/01/14/pont-de-pierre-une-tres-longue-fermeture-se-profile-7061229-10414.php
hellmonkey Wrote:Bonsoir! J'ai cru voir dans un article de presse que la 120ème rame de tram bordelais était arrivé! J'ignorais même qu'il y avait autant de rames dans notre réseau! Belle évolution!
Bersol Wrote:Municipales 2020 à Bordeaux : La plupart des candidats veulent freiner l'extension du réseau de tramway
https://www.20minutes.fr/municipales/2728671-20200302-municipales-2020-bordeaux-plupart-candidats-veulent-freiner-extension-reseau-tramway
15aurel15 Wrote:Bersol Wrote:Municipales 2020 à Bordeaux : La plupart des candidats veulent freiner l'extension du réseau de tramway
https://www.20minutes.fr/municipales/2728671-20200302-municipales-2020-bordeaux-plupart-candidats-veulent-freiner-extension-reseau-tramway
Mais aucun ne proposent une vrai solution au problème de la mobilité, ce ne sont pas des pistes cyclables qui vont désaturer le tram et les routes ^^
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