Gilligan Wrote:Bordeaux, c'est principalement une voirie étroite et tarabiscotée et des arrêts de tramway peut-être parfois trop proches les uns des autres.
Ah j'avoue: j'ai fait Saint-Nicolas - Victoire plus d'une fois par flemme

Gilligan Wrote:Bordeaux, c'est principalement une voirie étroite et tarabiscotée et des arrêts de tramway peut-être parfois trop proches les uns des autres.
D’autant que le tramway est de plus en plus souvent saturé. Dans la perspective de Bordeaux 2050, le sujet est donc revenu sur la table. Et Alain Juppé, le président de la Métropole, ne l’a pas écarté d’un revers de la main. « Je vois réapparaître les partisans d’un métro. Un métro ? Je dis pourquoi pas ! » De son point de vue, il faut y réfléchir.
La décision sur le métro sera prise avant la fin de l’année
« Je souhaite que l’on ait une réponse sur un métro avant la fin de l’année », annonce Patrick Bobet. « Pour désengorger le centre-ville et la première couronne avec un mode de déplacement intéressant, nous allons lancer des études pour un système qui passe en l’air – un téléphérique –, ou en sous-sol – un métro, précise-t-il. On a donné quatre mois à un ingénieur pour nous rendre un travail là-dessus. » Le président de Bordeaux Métropole annonce également avoir déjà « une estimation du coût pour le métro, qui serait de l’ordre d’un milliard d’euros pour une ligne, soit le coût de la phase une du tramway. Mais on ne fait pas un métro pour 25 ans, c’est pour un siècle, et il n’y a pas de grosses réparations à faire dessus, contrairement au tramway qui s’use beaucoup plus. Ce serait une bonne réponse à la congestion de Bordeaux, mais j’attends qu’on me démontre si c’est faisable et rentable. »
Bordeaux : métro, lignes de bus… Quelles solutions contre la congestion dans l’agglo ?
Nouvelles lignes de bus et de tram, VCub électriques, la Métropole étoffe son réseau tout en préparant l’avenir
La question de la mobilité sera encore au cœur des préoccupations en 2019 à Bordeaux Métropole et assurément LE sujet de la prochaine mandature. D’ores et déjà, plusieurs opérations devraient permettre de lutter contre la congestion de l’agglomération et de nouvelles pistes sont d’ores et déjà à l’étude pour préparer l’avenir. Mais le temps presse.
1. Un bus circulera sur la bande d’arrêt d’urgence de la rocade
Dès le 2 septembre, un bus pourra circuler sur la bande d’arrêt d’urgence (BAU) de la rocade bordelaise. « Nous avons enfin reçu le feu vert de l’État sur ce dossier même si la Métropole reste seule responsable de cette expérimentation. Nous allons donc lancer un test à la rentrée entre les échangeurs 12 (Saint-Jean-d’Illac) et 13 (Pessac) dans le cadre de la nouvelle ligne de bus Pessac-Le Haillan. Mais le bus ne franchira aucun échangeur et le chauffeur sera seul juge pour savoir s’il emprunte ou pas la BAU en fonction du trafic », détaille Christophe Duprat, vice-président de Bordeaux Métropole en charge des transports.
À noter qu’entre les échangeurs 12 et 13, la BAU a été portée à 4,5 mètres pour plus de sécurité et qu’une signalisation spécifique sera mise en place.
Ce Bus à niveau de service performant (BNSP) circulera entre le terminus de la ligne A Le Haillan Rostand et les Cinq Chemins, puis vers le rond-point de Dassault, desservira l’aéroport, la clinique du sport, empruntera la rocade entre les sorties 12 et 13, desservira la gare de Pessac Alouette, se connectant ainsi à la ligne B du tram, avant de rejoindre son terminus à Pessac Cité photonique.
2. Une ligne Bassens-campus pour soulager le réseau
L’autre ligne de bus mise en service le 2 septembre reliera Bassens au campus. 23 000 voyageurs par jour sont attendus sur cette ligne. « Comme pour le BNSP, ça ne sera ni une Liane ni une Corol, nous allons lui trouver un nouveau nom », précise l’élu.
Très attendue, elle aussi, cette nouvelle ligne va impliquer une réorganisation du réseau avec notamment le prolongement de la Liane 16 de République à Bouliac en passant par le pont de pierre avec une cadence à 10 minutes. De quoi désengorger la ligne A du tramway entre Stalingrad et le cours d’Albret.
3. Vers une électrification du réseau de bus
Conformément à sa volonté de rendre le réseau 100 % propre, TBM va lancer une électrification progressive des bus. « Notre objectif est de ne pas renouveler le parc de véhicules gasoil. » Aujourd’hui, la flotte est composée à près de 70 % de bus au gaz naturel de ville, 22 % sont au diesel et 8 % sont des hybrides. « Nous allons tester les bus électriques de huit constructeurs différents sur la ligne 45 ou la ligne 15 dans les prochains mois. Cela nous permettra de voir comment ça fonctionne dans des conditions réelles. »
4. Le bac Bouliac-Bègles touché coulé ?
Entériné début février par Alain Juppé alors que personne ne s’y attendait, le principe d’une navette fluviale reliant les deux rives de la Garonne entre Bouliac et Bègles ne verra pas le jour comme prévu en juin. Liée au retard de livraison du nouveau pont, cette navette fluviale gratuite pour cycliste et piéton impliquait de réaliser certains aménagements.
« Nous ne pouvions pas être opérationnels en matière de sécurité cette année. Il fallait construire un ponton et réaliser des aménagements pour les personnes à mobilité réduite d’ici à l’été. Le délai était trop court pour mettre en place un service de qualité », explique l’élu. Le projet est-il alors repoussé aux calanques grecques ? « Si le projet est toujours d’actualité, ce sera pour l’été 2020. »
5. Ligne D, les essais à blanc débutent à la rentrée
Autre actualité de cette rentrée, le début des tests sans voyageurs sur la ligne D, la quatrième ligne de tram du réseau, qui reliera à terme Bordeaux-Quinconces à Eysines. La première tranche entre les Quinconces et Le Bouscat sera mise en service fin 2019, début 2020. « Et trois à six mois plus tard, ce sera au tour de l’extension jusqu’à Eysines Cantinolle. » Un réseau de bus complémentaire sera alors déployé dans le secteur nord ouest de l’agglomération.
Enfin, durant l’été, les travaux de déviation de réseau devraient démarrer sur la ligne A qui sera étendue de la station des Quatre-Chemins jusqu’à l’aéroport à l’horizon 2022.
6. Métro, téléphériques : les études sont lancées
« Nous sommes passés de 90 millions de passagers en 2009 à 168 millions en 2018 sur le réseau TBM et nous avons gagné deux points de part modale pour arriver à 12 %.
Au regard de ces éléments, si on fait des projections sur la suite, ça ne passe plus surtout avec la croissance démographique et l’arrivée de nouveaux quartiers comme Le Belvédère ou Bastide Niel. »
Se pose alors la question de savoir ce que l’on fait après. « Les axes Stalingrad-Pellegrin, Quinconces-Gare et Victoire-Campus seront saturés d’ici la fin du mandat. Nous avons une légère marge de manœuvre mais à l’horizon 2025–2027, il faudra trouver des solutions. On peut toujours construire une autre ligne de tram qui desservirait le campus et on espère que le RER métropolitain apportera une bouffée d’oxygène. Mais il faut désormais se pencher sur le projet de métro. Ce serait une erreur de ne pas l’étudier. »
Reste à savoir si c’est faisable mais aussi rentable, le coût étant estimé à un milliard d’euros pour une ligne. Verdict fin 2019. De la même manière, des études ont été lancées pour des solutions aériennes tel que le téléphérique comme il en existe déjà à Brest ou à Toulouse. « On étudie deux lignes entre la rive droite et Bègles et entre Bassens et Bordeaux Nord. »
Des VCub électriques dès le 6 mai
Au total, 1 000 vélos électriques vont être déployés sur toutes les stations du réseau de transport de Bordeaux Métropole à compter du 6 mai. De nouveaux engins qui devraient permettre à Bordeaux Métropole et à Keolis, le délégataire en charge du réseau, d’aller chercher une nouvelle clientèle cycliste alors que le VCub classique a accusé une baisse de fréquentation de 12 % en 2018. En cause, l’état actuel du parc. « Mais aussi le fait que les gens ont essayé le VCub puis ont fini par acheter leur propre vélo. »
« Ces VCub électriques s’adressent plus particulièrement à une population située entre boulevard et rocade car ils permettront d’aller plus loin grâce à l’autonomie de leur batterie (jusqu’à 10 kilomètres) mais aussi à des habitants de Cenon ou Lormont sur la rive droite car ils offriront la possibilité d’emprunter des côtes », souligne Christophe Duprat.
Cette petite batterie amovible de 1 kg sera rechargeable facilement sur une prise standard en une heure et demie. Les usagers pourront la louer pour 6 euros par mois, soit 72 euros par an. Les usagers pourront louer plusieurs batteries. Quant au dispositif d’emprunt et de raccrochage, il reste le même que pour les VCub classiques.
Ces vélos électriques, habillés de bleu, compléteront le parc des 1 000 VCub standards, actuellement en renouvellement. 300 nouveaux vélos, plus légers et plus résistants, dotés d’une roue arrière orange ont en effet fait leur arrivée.
Quelques chiffres
78 : c’est le nombre de kilomètres de tramway que comptera le réseau TBM une fois la ligne D mise en service en 2020.
8 : il s’agit du nombre de constructeurs de bus électriques qui testeront l’un de leur véhicule sur le réseau durant les prochains mois.
1 000 : c’est le nombre de VCub électriques qui seront déployés sur l’ensemble des stations du réseau à compter du 6 mai, soit la moitié du parc total de vélos.
1 : c’est, en milliard d’euros, ce que coûterait une ligne de métro, soit autant que la première phase du tramway.
Bordeaux : une étude lancée pour un projet de métro
Une étude confiée à un élève ingénieur
Il a donc décidé, afin d'aider les élus de la métropole à se faire un idée, de lancer une étude sur la faisabilité de ce projet. Un crédit de 4000 euros a été voté ce vendredi en conseil de Bordeaux Métropole pour lancer cette étude. Le problème, estime l'opposition, c'est qu'elle sera confiée à un élève ingénieur de l'Ecole des Ponts et Chaussées basée à Paris.
"C'est très bien pour le cursus de cet élève, mais cela ne nous permettra pas de creuser bien loin! Gérard Chausset, le président de la Commission Transports et Déplacements à Bordeaux Métropole
Une première base
De son côté, Christophe Duprat, le vice président de la Métropole en charge des Transports estime qu'elle servira de base pour trancher. "Actuellement, les uns et les autres ont des avis issus d'articles de presse qui commencent à être anciens, il faut donc réactualiser tout ça!" estime l'élu. Par ailleurs, les études de sol ayant déjà été réalisées dans les années 90, le travail de cet étudiant consistera essentiellement en une remise à jour des techniques de construction et des données démographiques.
Cet étudiant aura 4 mois pour rendre son travail aux élus de la métropole soit au début du mois de Septembre. Si cette étude débouchait sur un oui, Bordeaux Métropole assure que des travaux plus approfondis seraient alors lancés.
Métro à Bordeaux : ce que prévoit la mission confiée à l'ingénieur des travaux publics
La mission visant à expertiser la faisabilité d'un métro dans l'agglomération bordelaise n'a pas été confiée à un jeune stagiaire mais bel et bien à un ingénieur des travaux publics affichant dix années de carrière au compteur. Les conclusions seront remises à Bordeaux Métropole en septembre.
Une mission de quatre mois est confiée à un ingénieur en chef, diplômé en 2009 de l'Ecole nationale des travaux publics de l'Etat (ENTPE) de Lyon, pour expertiser la faisabilité d'une ou plusieurs lignes de métro dans l'agglomération bordelaise. Loin d'un profil de stagiaire, La Tribune est en mesure d'affirmer que cet ingénieur de 33 ans, spécialisé dans l'aménagement et les politiques urbaines, et diplômé de l'IEP de Lyon, dispose de dix ans d'expériences professionnelles dans les domaines de la planification territoriale, du logement et du ferroviaire notamment en Ile-de-France et en Nouvelle-Aquitaine.
Sa lettre de mission est dense :
- Dresser le bilan des études et travaux menés dans les années 1980 et 1990 (tracés envisagés, difficultés techniques et géotechniques, coût du réseau envisagé),
- Dresser le bilan des évolutions techniques et des possibilités actuelles permettant de surmonter les difficultés identifiées à l'époque,
- Etablir plusieurs indicateurs clés à partir des réseaux existants tels que le coût-moyen d'un kilomètre de métro, les risques liés au chantier et les retours d'expériences en termes d'exploitation à moyen et long terme,
- Définir un réseau-cible et étudier ses caractéristiques (coûts des travaux, bilan socio-économique des lignes envisagées, calendrier de réalisation, interconnexions avec le réseau tramway, bus et BHNS).
La Métropole versera 4.000 € à l'Ecole nationale des ponts et chaussées pour la mise à disposition de l'ingénieur, lequel se verra octroyer une enveloppe de fonctionnement de 2.000 € pour la prise en charge des frais liés à l'étude. "La question n'est pas encore de savoir s'il faut réaliser une ligne de métro traversante ou en rocade. L'enjeu de cette mission c'est d'abord de répondre à la question de la faisabilité globale d'un métro, en termes de coûts, de contraintes et de progrès techniques", assure Patrick Bobet, le président de Bordeaux Métropole.
Un métro à plus d’un milliard d’euros
Patrick Bobet a livré quelques éléments de l’étude lancée par Bordeaux Métropole sur l’opportunité de se doter d’un métro, complémentaire au tramway. Cette étude dégage selon lui cinq points majeurs, "trois positifs et deux négatifs".
"Premier point, un métro est réalisable, techniquement c’est possible. Deuxième point, ce serait pertinent, du moins pour une ligne partant de l’Arena de Floirac, passant par la gare, la Victoire, la Cité administrative, le parc des expos", a-t-il détaillé. Dernier élément positif : la valeur actuelle nette (VAN, qui évalue la rentabilité pas seulement financière d’un projet) est très largement positive.
Pour les éléments négatifs : "tout d’abord il y a le coût, qui serait sans doute de 1,4 milliard d’euros. Ensuite l’impact des travaux, avec une emprise colossale au niveau de chaque station".
busdriveragora Wrote:Bonjour !
Ces projets de métro sont pas mal (j'ai été voir sur https://www.metrobordeaux.fr).
Il manque néanmoins un terminus rive droite équipé d'un parc relais permettant de "capter" les gens venant du libournais (pouvant allégé le tram A à Buttinère) , et de Langon à moins de créer un parc relais à l'Arena .
A titre personnel, je ne garderais que la branche nord du M1 et abandonnerais la branche sud qui fait doublon avec le M2 .
Et je ferais terminus du M2 à la Gare de Bassens comme sur suggéré en prolongement sur le plan de l'étude grace au "économies" réalisées par la non construction de la branche sud du M1.
une ligne partant de l’Arena de Floirac, passant par la gare, la Victoire, la Cité administrative, le parc des expos",
greg59 Wrote:busdriveragora Wrote:Bonjour !
Ces projets de métro sont pas mal (j'ai été voir sur https://www.metrobordeaux.fr).
Il manque néanmoins un terminus rive droite équipé d'un parc relais permettant de "capter" les gens venant du libournais (pouvant allégé le tram A à Buttinère) , et de Langon à moins de créer un parc relais à l'Arena .
A titre personnel, je ne garderais que la branche nord du M1 et abandonnerais la branche sud qui fait doublon avec le M2 .
Et je ferais terminus du M2 à la Gare de Bassens comme sur suggéré en prolongement sur le plan de l'étude grace au "économies" réalisées par la non construction de la branche sud du M1.
Ce n'est pas ce qui est prévue, d'après le président voici le tracé de la future ligne de métro :une ligne partant de l’Arena de Floirac, passant par la gare, la Victoire, la Cité administrative, le parc des expos",
Ce qui nous donne, une idée de ligne de 15km environ et on peut donc déduire entre 25 et 30 stations, si j'ai bien compris le tracé, et sa vision du tracé.
Divers article de presse relate l'info du métro :
https://www.20minutes.fr/bordeaux/25996 ... iard-euros
https://objectifaquitaine.latribune.fr/ ... 27499.html
https://www.sudouest.fr/2019/09/09/metr ... 7-2780.php
https://rue89bordeaux.com/2019/09/proje ... metropole/
"Merci à Patrick Bobet le président de la Métropole d'avoir reposer le dossier sur la table", a dit Nicolas Florian. "On a fait le choix d'un réseau de surface en 1995 à Bordeaux, mais aujourd'hui le tramway arrive à saturation. Il faut trouver un réseau complémentaire. Lequel ? Faut-il un métro désormais ? Je suis favorable au débat. Quel coût ? Est-ce que le métro nous empêcherait de faire d'autres réalisations ? Je n'ai pas de préjugés mais je fixerai des bornes sur le sujet".
Métro à Bordeaux : un rêve à enterrer ?
Une étude dont tout le monde parle depuis les annonces de rentrée du président de la Métropole, Patrick Bobet, lundi, mais que très peu de personnes ont pu consulter jusqu’à présent. « Sud Ouest » s’est procuré le précieux document de 113 pages et l’a analysé afin de vous en livrer la substantifique moelle.
1,4 milliard : un coût rédhibitoire
« La question du financement semble être un point crucial pour la réalisation d’un projet de métro à Bordeaux. En l’état actuel, il semble difficile d’imaginer un plan de financement qui rende possible la réalisation d’une telle infrastructure et qui permette par ailleurs à la Métropole de maintenir en l’état son réseau de tramway existant, de développer de nouvelles lignes, d’améliorer la performance de son réseau de bus tout en gardant des capacités pour financer l’amélioration du réseau routier ou le RER métropolitain. »
Voilà ce que conclut l’étude. Et pour cause. Actuellement, le budget d’investissement consacré aux transports en commun est de 600 millions sur 2019–2022, soit 150 millions par an. Sauf que pour réaliser la ligne de métro entre Bouliac et le stade Matmut, la Métropole devra débourser 1,4 milliard d’euros sur 2030–2034. Dans le même temps, elle devra faire face à d’importants coûts de renouvellement de son réseau de tram, qui a bientôt 30 ans : 20 à 30 millions par an sur l’infrastructure et 100 millions pour le renouvellement du parc roulant.
Concernant les autres tracés étudiés :
quatre tracés de lignes pertinents ont été identifiés et étudiés :
- Une ligne Pessac-Alouette-Lormont Buttinière (11 stations – 16,5 km)
- Une ligne Auchan-Bouliac- Stade Matmut (10 stations –14 km)
- Une ligne Auchan Boulliac-Cenon Gare (10 stations- 16 km)
- Une ligne Campus Carreire-Stade Matmut (9 stations-16 km).
Kroezensjtern Wrote:Ligne sponsorisée par Auchan ? Les trois hypermarchés sont couverts par le métro./s
Train-Corail Wrote:Ça changerait le cours de la Marne qui en a bien besoin ! Mais un tram là-bas mettrait les commerces en difficulté comme ce fut les cas cours de l'Argonne où même une agence immobilière a fermé pendant la frénésie pré-LGV SEA !
busdriveragora Wrote:Train-Corail Wrote:Ça changerait le cours de la Marne qui en a bien besoin ! Mais un tram là-bas mettrait les commerces en difficulté comme ce fut les cas cours de l'Argonne où même une agence immobilière a fermé pendant la frénésie pré-LGV SEA !
Bonjour !
La grosse erreur qui a été faite depuis le l'arrivé du tram à Bordeaux, c'est de ne pas mettre un mode de transport lourd (métro ou tram) sur le tracé de l'ancienne 7/8 exploité en Mégabus .
Une ligne faisant Arena - Gare jusqu'à St Louis via les cours puis reprenant l'antenne Blanquefort de la C serait pertinent . Combiné avec le RER métropolitain, elle faciliterait les déplacements dans la métropole et la Gironde .
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