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gerard arf Wrote:Il aurait aussi été possible d'avancer le TET tous les jours de 8 à 10 minutes il dégageait ainsi suffisamment tôt à St Germain pour laisser passer l'ex Volcan. Il aurait eu ainsi un horaire permanent 7 jours sur 7 et une arrivée à 21h20 à Lyon sans problème.
Nouveaux horaires : les usagers du Paris-Chartres en colère
Le 11 décembre, la SNCF modifie ses horaires, avec de nombreux changements à la clé pour les usagers. Des modifications d’ores et déjà mal vécues par les usagers de la gare des Chantiers.
Les voyageurs s’estiment lésés et se sont réunis en un collectif dénonçant le cadencement mis en place par la SNCF et la région Centre à partir du 11 décembre. Celui-ci va profondément bouleverser leur quotidien.
Ils sont cadres, notaires, dentistes ou ophtalmologistes. Toutes et tous ont un point commun : ils travaillent à Chartres et se retrouvent chaque matin dans le train de 7h2 en gare de Versailles-Chantiers. Un rituel qui sera prochainement remis en cause. Car dans le cadre de sa campagne de travaux sur les lignes TGV, la SNCF va modifier ses horaires sur plusieurs lignes au plan national à compter du 11 décembre.
Un nouveau cadencement qui ne satisfait pas du tout les usagers de la ligne Paris-Chartres-Le Mans. Réunis au sein d’un collectif, ils s’estiment lésés. « Il y aura moins de trains et les trajets vont être rallongés », résume Araceli Simon, 53 ans, cadre dans une PME, qui habite en Essonne. « Mon entreprise a été délocalisée en province. J’ai suivi et jusque-là tout allait bien, mais cela va se compliquer », précise la quinqua.
Le train de 7h2 qui met trente-sept minutes pour arriver à destination est supprimé et remplacé par un départ à 7h22. « Mais on arrive à 8h7 — au lieu de 7h39 —, ce qui n’est plus pareil. Et pas question de prendre celui d’avant, qui est à 6h32 », pour Michel 58 ans, qui fait le trajet tous les jours depuis vingt-cinq ans. Même mécontentement chez Stéphanie, 42 ans, une mère de famille préoccupée par son trajet retour. « Seul le train de 17h34 s’arrêtera à Chantiers sinon il faudra prendre celui de 18h52, ce qui me fera arriver au-delà de 20 heures chez moi. En gros on n’aura plus le droit à la moindre erreur et cela va générer du stress en plus. »
A l’étage, Hervé, 57 ans, ophtalmologiste, « terminera plus tôt et verra donc moins de patients ». Son voisin, Gérard, un notaire de 63 ans devenu son ami, assène : « On va dans le mauvais sens. On est soi-disant des contre-points (NDLR : le jargon technique de la SNCF pour qualifier ces voyageurs) et on se fout totalement de nous. » Problème de taille pour les usagers, les trains dépendent de la région Centre. Plus difficile pour se faire entendre. « On voudrait bien comprendre comment ils ont imaginé cette nouvelle grille et essayer d’obtenir quelques ajustements », conclut Pierre, 47 ans, venu travailler à Chartres récemment car « la ville était bien desservie ». Jusque-là.
“ Le cadencement, c’est plus de bagnoles ”
Pendant toute la semaine, les élus et sympathisants Verts alertent les usagers des trains sur les nouveaux horaires mis en place le 11 décembre.
Les écolos sont matinaux. Tout autant que les usagers de la SNCF qui prennent leur train pour venir travailler ou étudier. Hier matin, dès 7h, élus et sympathisants d’Europe Ecologie les Verts étaient en gare de Blois pour distribuer des tracts dénonçant les nouveaux horaires mis en place le 11 décembre prochain sous l’appellation cadencement. Des tracts déclinés sur le mode humoristique : « Alerte enlèvement. Le TER X72500 a disparu le 11 décembre à minuit entre les gares de Blois et de Mer… » mais qui déclinent très sérieusement les pertes occasionnées par le nouveau dispositif. A savoir « le délaissement des petites gares, l’augmentation du nombre de correspondances et de la durée des parcours, l’impossibilité de continuer à utiliser le TER pour de nombreux lycéens, la dégradation du service entre Dreux et Paris, Chartres et Paris ».
Conseiller régional, Charles Fournier est le secrétaire départemental d’EELV. D’une manière générale, il remet en question la pertinence du projet de cadencement, déplore la dégradation du réseau de proximité et pointe du doigt le choix du POCL (Paris-Orléans-Clermont-Ferrand-Lyon). « C’est un choix qui favorise les plus riches alors que les réseaux secondaires s’appauvrissent. Nous ne sommes pas contre le principe mais il fallait mettre en place un vrai cadencement et un vrai calendrier. Tout cela s’est fait dans la précipitation, sans négociations. Cela pose des problèmes avec les transports urbains. Par exemple, à Blois, la convention avec les TUB se termine en 2013. On aurait pu attendre. On nous dit que ce cadencement est mis en place pour favoriser le fret mais fret et voyageurs ne sont pas incompatibles. Non, cela cache une privatisation du fret mais également du transport des voyageurs. Et derrière la SNCF et RFF, on retrouve l’État bien entendu. »
Et de prédire des conséquences immédiates forcément décriées par les écolos : « Avec ce cadencement, c’est plus de bagnoles. C’est ce que nous disent les usagers qu’on rencontre. »
Les Verts seront aujourd’hui à Argenton-sur-Creuse, Châteauroux, Dreux et Epernon et vendredi à Onzain, Châteaudun, Les Aubrais, Orléans et Tours.
Rémi Wrote:Le problème du cadencement en général, c'est qu'il n'est pertinent que sur des axes où l'offre est assez homogène et structuré : bref quand on peut faire du prêt à porter. Quand il s'agit de faire du sur-mesure, là évidemment, on commence à entrer dans un domaine plus complexe. A mon sens, le cadencement est nécessaire sur les lignes à trafic dense. Par contre, il y a un choix fondamental à faire : puisque le président de la SNCF explique à chaque conférence de presse que 90% de ses voyageurs sont dans des TER et des Transilien, alors il faudrait considérer que ces trains sont structurants par rapport aux autres dessertes, et c'est dans ce sens que les relations auraient du être amorcées avec RFF. Mais on est parti de la mise en service de la LGV Rhin-Rhône...
Rémi Wrote:C'est probablement sur le TER qu'il y a le plus de voyageurs à gagner, et aujourd'hui, ce qui ressort, c'est que le TER doit supporter beaucoup de contraintes avec des modifications d'horaires qui rendent, dans un nombre non négligeable de cas, l'offre moins bien placée par rapport aux besoins. Donc il y a une contradiction entre le besoin de mise en qualité du TER et d'un positionnement qui doit être précis compte tenu qu'on n'est pas dans une logique de flux façon banlieue parisienne à 16 trains par heure qui rend la minute de départ moins structurante qu'en région où on est sur 12 à 16 trains... par jour dans les meilleurs cas.
Jibrail Wrote:Et puis juste un détail, en Suisse, quand on a mis en place le cadencement, les horaires des établissements scolaires (entre autres) ont été modifié pour s'adapter au cadencement.
Là, c'est l'exemple typique ou il faut savoir ce qu'on veut
chris2002 Wrote:Jibrail Wrote:Et puis juste un détail, en Suisse, quand on a mis en place le cadencement, les horaires des établissements scolaires (entre autres) ont été modifié pour s'adapter au cadencement.
Là, c'est l'exemple typique ou il faut savoir ce qu'on veut
Pas qu'en Suisse, au moins un Lycée français (on en parle quelque part sur lineoz) va aussi le faire, et il y en a probablement d'autres qui le feront aussi, même si ça râle.
Jibrail Wrote:Sur l'étoile de Mulhouse, que je connais bien, la mise en place d'un cadencement des TER nettement amélioré ne provient pas d'un miracle, mais d'un investissement en matériel (des ZGC plus véloces qui remplacent définitivement les derniers X73500 et Colibri), et d'une suppression de plusieurs arrêts pour pouvoir intercaler missions lentes et rapides, en rendant les missions lentes moins lentes. Mais ce n'est pas possible partout, surtout lorsqu'on a pas une infra aussi bien tracée que la ligne d'Alsace.
Rémi Wrote:A mon sens, la finalité du projet est quelque peu biaisée. Le cadencement n'est pas destiné uniquement à des fins techniques pour organiser les travaux sur le réseau et proposer des sillons catalogue. A la base, le cadencement, c'est pour mettre plus de monde dans les trains par une offre plus adaptée aux besoins. On peut faire un cadencement parfait, mais perdre du trafic existant parce qu'on a mis en place des horaires inadaptés aux besoins des voyageurs. C'est là le but premier du transport ferroviaire. Pas sûr que ce qui soit mis en oeuvre dans trois semaines y concourt réellement sur un certain nombre de lignes, y compris dans le bassin parisien.
Nouveaux horaires SNCF : après 19h33, un seul recours, le stop !
La SNCF et Réseau ferré de France ont réduit l'offre des trains, le soir, au départ de Bourges, en direction de Paris. Le dernier part à 19h33. Après, c'est l'aventure.
Dernier carat : 19h33. Notez bien cet horaire, c'est la dernière limite pour quitter Bourges, en train, la semaine, en direction de Vierzon, Orléans et Paris. (18h55, les week-ends et jours fériés). Pour Tours, il faut attraper le 18h55 en semaine, idem le week-end. Au-delà deux solutions : le stop ou la chambre d'hôtel. Plus écolo, le covoiturage. Plus élitiste : l'avion de tourisme entre les aérodromes de Bourges et Méreau-Vierzon.
Pour le maire de Bourges, Serge Lepeltier, l'absence de trains en partance de Bourges au-delà de 19h33, à partir du 11 décembre, ne semble pas le gêner plus que cela. « J'ai rencontré Guillaume Pépy, le président de la SNCF. N'oublions pas que les nouveaux horaires servent à respecter un calendrier pour exécuter des travaux de rénovation des voies. » Jadis, le 20h11 et le train balai de 21h51 pouvaient sauver des situations, en cas de retard. C'est terminé.
Cela justifie-t-il la suppression des trains du soir au profit d'autres trains répartis dans la journée ? Surtout dans une Préfecture qui se bat pour avoir le TGV et qui, à 19h33, doit avoir renvoyé tout le monde dans ses pantoufles ?
Hier, la direction régionale de la SNCF a clos les discussions : il faudra attendre les prochains horaires de décembre 2012 pour espérer qu'un train supplémentaire soit ajouté, le soir, en partance de Bourges.
Répondant à la loi du plus grand nombre (dix clients mécontents ne pèsent rien contre cinq cents qui sont satisfaits...), RFF et la SNCF ne veulent rien entendre.
izgood Wrote:Bonjour
Nouveaux horaires SNCF : de Saint-Amand à Vierzon en passant par Bourges, des usagers témoignent, voir Le Berry.fr :
http://www.leberry.fr/editions_locales/ ... BCh8-.html
Ce père de famille Berruyer, divorcé, explique que ses enfants qui viennent de Lyon le vendredi soir pour repartir le dimanche après-midi, « ne pourront venir que le samedi avec une arrivée à 13h10 pour repartir le lendemain à 13h48… Seuls trains directs… »
« Ma fille, mère de famille, habite Nérondes » nous écrit cette Solange. « Elle se rend trois jours par semaine à Bourges et deux jours dans un commerce identique à Nevers avec la fermeture du magasin où elle travaille à 19 heures. Si elle veut rentrer chez elle, le soir, avec les nouveaux horaires de la SNCF, elle devra quitter son travail à 18 heures, après avoir fait une journée continue (hormis la très courte pause obligatoire à midi). Croyez-vous que le responsable du magasin ouvrira le matin à 8h30 au lieu de 9h30 et acceptera de fermer boutique le soir avant les autres commerces de la rue pour respecter le temps de travail ? »
Cet habitant de La Guerche sur l’Aubois qui prend le tarin chaque pour jour pour Bourges. « Actuellement, pour effectuer ce trajet, il y a dix liaisons possibles. Le plus gros changement des nouveaux horaires, c’est que nous allons passer à seulement six liaisons. Sur les quatre trains du matin que je pouvais prendre à la Guerche pour me rendre à Bourges, seuls deux persistent. Évidemment, ne sont conservés que les deux trains les plus rentables. Ces horaires matinaux me suffisent amplement.
Par contre, le soir, dans le sens Bourges-La Guerche, nous passions de cinq liaisons à trois, la dernière partant de Bourges à 18h30. Plus aucune possibilité de rentrer chez soi après cet horaire. On ne peut plus avoir de réunions tardives. Je suis enseignant et à certaines périodes de l’année, entre les conseils de classe, les réunions parents-profs, les réunions de conseil d’administration et quelques autres réunions à 18 heures, il m’arrivait régulièrement de prendre le train de 19h35, voire celui de 21h15. Par conséquent, je me vois dans l’obligation de reprendre ma voiture pour ces journées-là. Et si ma semaine comporte deux réunions, cela ne vaut plus le coup d’acheter un abonnement hebdomadaire et je reprends la voiture pour la semaine. Le plus étonnant dans tout cela, c’est que les trains reliant Bourges Nevers existent, passent par La Guerche mais ne s’arrêtent plus. »
Cette habitante de Bourges qui travaille à Saint-Amand souligne que les nouveaux horaires « nous sont très défavorables puisque le premier train part de Bourges à 8h33 et arrive à Saint-Amand à 9h56… Jusque les horaires étaient confortables puisqu’un train part de Bourges à 6h59 et arrive à Orval à 7h50 et pour le retour, un train part à 17h23 de Saint-Amand pour arriver à 18h11. On pensait que l’on allait nous proposer un car de substitution comme cela avait été le cas lors de travaux sur la ligne. Il est vrai que nous redoutons le car l’hiver par temps de neige ou verglas. Pour le soir, le train de 17h23 et reporté de vingt minutes, nous nous en contenterions. Un grand nombre de personnes utilisent le train pour se rendre sur leur lieu de travail. Certains m’ont rapporté qu’ils perdront leur emploi car ils n’ont pas d’autres moyens de locomotion. »
Le dernier train de 19h33 à Bourges, en semaine, au lieu de 20h11 et 21h51 pour le dernier actuellement, fait pas mal de mécontents. Une salariée d’un commerce berruyer du centre-ville qui habite à Vierzon a pris son bâton de pèlerin pour faire signer, dans le train, une pétition, spécifiquement sur le problème du dernier train berruyer pour Vierzon. Actuellement, cette usagère quotidienne a recueilli une cinquantaine de signatures. Des personnes qui, explique-t-elle, auront vraiment des problèmes pour rentrer chez eux le soir. Il n’y a plus, effectivement, aucune souplesse des horaires dans la Préfecture du Cher puisque RFF et la SNCF ont fait le choix de supprimer le train-balai. La situation conduit à des décisions ubuesques : prendre sa voiture au lieu du train. Le Grenelle de l’environnement qui a dicté ses nouveaux horaires a ses limites.
lanouvellerepublique.fr Wrote:37 - Nouveau train à 23h08 pour Tours
09/12/2011 19:54
Les usagers du rail vont être satisfaits. Ils ne pouvaient plus revenir de Tours, la semaine, après le dernier train de 20h36, à cause des changements d'horaires et du nouveau cadencement. La SNCF a fait retomber la pression, hier, en remettant un train tous les jours à 23h08 au départ de Paris Austerlitz, un train intercités. A lire demain dans la NR, et voir notre vidéo.
viveletrainavierzon Wrote:Une bonne nouvelle aussi pour les habitués de PARIS VIERZON. Le 3600 au départ de VIERZON à 6h49 permet une arrivée à 8h18 à PARIS. Cela va surement faire plaisir aux habitué du LUNEA qui partait fort tôt de VIERZON ou de la formule TER+ AQUALYS trop longue. Grace à ce 3600 il sera possible de faire PARIS VIERZON en 1h29 tout en arrivant suffisement tôt pour être avant 9h au centre de PARIS mais sans avoir à se levre aux aurores. Le 3904 arrivait trop tard à 8h45 et desormais arrivera encore trop tard à 8h52.
Usagers des gares rurales : un sentiment d’abandon
En zone rurale, les usagers des gares, comme à Onzain, ont dû s’adapter aux nouveaux horaires.
Quasiment un mois après la mise en place des nouveaux horaires de la SNCF, des usagers ne décolèrent pas, notamment du côté des petites gares.
Depuis la rentrée scolaire, Élodie, 19 ans, d’Onzain, prend le train tous les jours pour se rendre au lycée privé d’esthétique à Tours. Elle s’était bien adaptée aux horaires de la SNCF, mais au bout de trois mois, ceux-ci ont changé. Le matin comme le soir, elle ne rencontre pas de difficultés. « Mais le mercredi midi à Tours, c’est une galère, raconte sa maman. En finissant ses cours à 12h, elle ne peut pas prendre le train de 12h04, puisqu’elle a vingt minutes de marche entre son lycée et la gare. Et le prochain départ de Tours en direction d’Onzain est à 16h. Elle ne va quand même pas attendre quatre heures dans le froid. » La solution trouvée par Élodie pour rejoindre son domicile à une heure décente est d’emprunter le bus qui part de Tours à 12h30 et qui s’arrête à Amboise, où ses parents sont obligés d’aller la chercher. Les usagers et les élus sont nombreux à pointer du doigt des incohérences. Sur la ligne Vierzon - Tours, « la suppression du TER de 6h54 en gare de Chissay-en-Touraine oblige les usagers à prendre un autocar qui part trente minutes plus tôt, précise Michel Chassier, conseiller régional (FN) de Loir-et-Cher. Et c’est pire le soir, le dernier train qui dessert Chissay part de Tours à 17h45. A moins de travailler dans une administration en centre-ville de Tours, impossible de le prendre. »
A ces changements d’horaires, s’ajoutent des retards à répétition. Sur le site Internet du collectif des gares du Val de Loire, les témoignages pleuvent. « Depuis le 26 décembre, le train en partance de Blois à destination d’Orléans de 7h38 a systématiquement dix minutes de retard, a écrit un usager en fin d’année. C’est écœurant, on nous rebat les oreilles avec le développement durable, qu’il est préférable de prendre les transports en commun et on nous supprime des trains. »
Pour l’Association des maires ruraux de France, le cadencement et la hausse des tarifs des billets représentent une double peine. « J’ai le sentiment que ce sont toujours les territoires ruraux qui font les frais de la disparition progressive des services publics, déclare Yves Ménager, maire de Châteauvieux et président des maires ruraux de Loir-et-Cher. En attendant leur train, des usagers n’ont même pas la possibilité de s’abriter, car des gares sont fermées. Du côté de Thésée, la bataille des usagers continue pour demander davantage d’arrêts. Le cadencement est-il vraiment favorable aux usagers ou arrange-t-il mieux la SNCF ? » L’association, qui déplore un travail de concertation insuffisant, demande à être auditionnée par la médiatrice nommée par la SNCF.
Mécontentement sur la ligne Vierzon-Bourges-Saincaize
Le comité de défense de la ligne Vierzon-Bouges-Sancaize proteste contre les suppressions de trains suite au cadencement, qui pénalisent les usagers.
Le comité ne remet pas en cause le cadencement mais " la suppression de trains quotidiens comme les Bourges-Nevers de 9h11 et 19h29 et Nevers-Bourges de 9h04 et 20h03. La suppression du dernier train le soir, dans chaque sens, empêche toute correspondance pour les retours de Paris. Quatre trains supprimés dans chaque sens le samedi pénalisent les travailleurs du week-end. "
Le comité demande la remise en service des trains supprimés et une concertation avec tous les acteurs concernés.
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